A l’usage des débutants
et des réfractaires au jargon informatique
ATTENTION !
Ce lexique N'EST PAS : Ce lexique EST :
- un dictionnaire exhaustif de tous les termes techniques de l'informatique et de l'Internet
- un document destiné aux professionnels ou aux utilisateurs avertis
- l'explication des termes et des concepts les plus courants de l'Internet, et volontairement limité à ceux-là
- un document destiné aux débutants et à tous ceux qui préfèrent une explication en français plutôt qu'en jargon
Mis à jour en fonction des termes français proposés par le J.O. du 16/03/1999
Révision 10 - Avril 2001
(Les mots soulignés renvoient vers une autre entrée du lexique)
ACROBAT READER®
Logiciel disponible en freeware, permettant d’afficher et d’imprimer des textes au format PDF. L’intérêt de ce format est qu’il présente un fac-similé exact du document original, graphisme, mise en page, couleurs et présentation compris. De très nombreux sites, publics ou commerciaux, propose des documents au format PDF, ainsi que le téléchargement des dernières versions d’Acrobat Reader®.
La version disponible en freeware permet seulement la lecture et l’impression des documents PDF. Elle n’autorise ni la création, ni la modification de ces documents. La version complète du logiciel (payante) permet la création et la modification de ces documents.
ACTIVEX
Technologie permettant à des composants logiciels intégrés dans les pages Web pour produire des animations, des effets multimédias, des applications interactives. L'intérêt de la technologie ActiveX est que les composants utilisés peuvent être écrits dans plusieurs langages de programmation différents.
ADRESSE ÉLECTRONIQUE
Code indiquant les coordonnées d'un utilisateur. Cette adresse est composée du nom de l'utilisateur suivi du signe @ , suivi du nom du domaine du serveur abritant le compte de l'utilisateur, par exemple, tartarin.tarascon@lemel.fr qui désignera l’utilisateur Tartarin de Tarascon, dont la BAL se trouve sur le domaine « lemel.fr ». Dans ce contexte, le symbole @ (arobase ) se prononce « at », qu’on pourrait traduire par « chez ».
ADRESSE IP
Code désignant un ordinateur sur Internet. On distingue deux types de code : un code numérique et un code textuel. Le code numérique est composé d'une série de quatre nombres entre 0 et 255 séparés entre eux par des points (par ex., 192.144.101.210). Le code textuel, ou nom, est constitué d'un mot désignant l'ordinateur suivi par le nom du réseau, ou domaine, auquel il appartient. Par exemple, dadsys.ftrust.fr désigne l'ordinateur dadsys situé dans le réseau ftrust.fr. Ce réseau appartient lui-même à un réseau français, car il se termine par fr. Les adresses se terminant par com, edu ou gov appartiennent au réseau américain.
ADRESSE RETICULAIRE, ADRESSE UNIVERSELLE
Voir URL.
L'ADSL (Asynchronous Digital Subscriber Line) est une nouvelle technologie de transmission haut débit, utilisant le réseau téléphonique classique. Elle se base sur l'utilisation de fréquences plus élevées que celles utilisées pour la voix (aux alentours de 1 Mhz). Elle permet une connexion permanente et rapide à Internet. Vous pouvez utiliser simultanément votre téléphone et votre connexion à l'Internet.
L'ADSL, contrairement au câble, n'utilise pas de réseau spécial. Par contre, elle nécessite de la part de France Télécom une mise à jour de l'extrémité de son réseau téléphonique, entre le modem du particulier et le central téléphonique. Actuellement, cette mise à jour est faite sur Paris et 10 villes des Hauts de Seine. Ces implantations se rajoutent aux sites expérimentaux déjà ouverts en Province (Rennes, Nice et le Mans).
Progressivement, la possibilité de connexion sera élargie à d'autres villes : Lille, Lyon, Strasbourg...
Pour plus d'informations : http://www.club-internet.fr/adsl (Information libre de toute publicité).
(Terme français : appliquette). Petit programme inclut dans une page HTML, réalisant une animation, un calcul, ou plus généralement une opération impossible à réaliser avec les outils disponibles en HTML. Voir "Java".
ASCII
Acronyme de American Standard Code for Information Interchange. Système de codage standardisé, qui affecte à chaque lettre et aux principaux symboles d'opérations et de ponctuation une valeur numérique (exemple : la valeur numérique 65 représente la lettre "A" dans le code ASCII). Cette normalisation permet aux ordinateurs d'échanger des données.
Acronyme de Boîte aux Lettres. Sous-entend qu’il s’agit d’une boîte aux lettres électronique, capable de recevoir et d’expédier des courriels.
Quantité d'informations pouvant circuler en une unité de temps sur une connexion entre deux ordinateurs. La bande passante est mesurée en bps (bits par seconde), kbps (kilobits par seconde) ou Mbps (megabits par seconde).
BAUD
Indice de la vitesse de communication d'un modem. Cette quantité est à peu près égale à 1 bps. La vitesse maximale de transmission est fonction de deux paramètres : la voiture utilisée (le modem) et la route empruntée (réseau téléphonique commuté, RNIS – NUMERIS par exemple-, réseau câblé, liaison satellite). En réseau commuté, une vitesse de 56 600 bauds est satisfaisante à l’heure actuelle. Avec une ligne NUMERIS, on peut atteindre le double. Par câble ou par liaison satellite, les vitesses se chiffreront en millions de bauds. La technologie ADSL constitue, pour les villes qui en disposent, une autre possibilité de connexion rapide.
BOOKMARK
Voir Signet.
BPS (BITS PAR SECONDE)
Voir Bande passante.
BROWSER
Voir navigateur.
CAUSETTE
Traduction officielle en français de « Chat ». Voir Internet Relay Chat.
Nom donné à une catégorie particulièrement dangereuse de virus informatiques, très répandus notamment sur les sites de commerce électronique, Les virus dit « troyens », comme leur ancêtre mythologique, vont faire croire à l’utilisateur qu’ils sont inoffensifs, en prenant une apparence bénigne, en incitant l’utilisateur à entrer des informations normalement confidentielles, et en les détournant au profit de l’auteur du virus.
Un virus troyen pourra par exemple prendre l’aspect d’un bon de commande électronique d’une société parfaitement honorable (AOL en a été la victime entre autres), demander l’introduction d’un numéro de carte de crédit, et envoyer ce numéro à l’auteur du virus au fin fond de l’Arkansas, du Belouchistan ou de la savane zimbabwéenne.
Les méthodes de sécurisation du commerce électronique (cryptage des données) constituent une parade de premier niveau. Les « bons » anti-virus sont capables de détecter et d’intercepter la plupart de virus troyens. La meilleure façon de limiter le risque d’être victime d’un tel virus est de respecter quelques règles simples :
Ne jamais commercer ou donner son numéro de carte de crédit sur un site non sécurisé, où que l’on ne connaît pas.
Utiliser un anti-virus efficace, et être parfaitement à jour des définitions de virus. Les meilleurs proposent actuellement des mises à jour entièrement automatisée tous les 15 jours.
Et puis, finalement, comme dans toute transaction commerciale, il y a un moment où on doit décider si on fait confiance au vendeur, ou non. C’est la base même du commerce.
Dans une transaction sur le réseau, désigne l'ordinateur effectuant des requêtes à un autre ordinateur. Désigne également le logiciel destiné au client dans une application Internet ou partagée (en réseau local), par opposition à la partie "serveur" du même logiciel.
CNIL
Acronyme de la Commission Nationale Informatique et Libertés. Créée en 1978, avec l’essor de l’informatique, la CNIL veille à ce qu’aucun traitement informatique ne puisse porter atteinte à la liberté des personnes. Une déclaration préalable est obligatoire avant la mise en œuvre de fichiers contenant des informations nominatives. Un formulaire de déclaration simplifiée est disponible pour ceux qui utilisent simplement des logiciels standards du marché (facturation, comptabilité, etc…)
Par extension, la CNIL s’intéresse aujourd’hui aux sites Internet contenant des informations nominatives, ou susceptibles d’en recueillir. Une déclaration d’ouverture de site doit obligatoirement être soumise à la CNIL avant la mise en ligne d’un site Web. Le formulaire de déclaration, ainsi que les textes relatifs à l’informatique et aux libertés, peuvent être téléchargés sur le site de la CNIL : http://www.cnil.fr
COMPACTAGE, COMPRESSION
Procédé permettant de réduire la taille d'un fichier. Pour décompresser le fichier et pouvoir l'utiliser, il faut disposer d'un logiciel spécial. Il existe plusieurs types de compression : arc, gz, sit, Z, zip.
CONCENTRATEUR (HUB)
Composant matériel d'un réseau au niveau de la couche physique, permettant de relier entre eux tous les ordinateurs constituant le réseau. Chaque ordinateur est relié au concentrateur par un fil unique, et les échanges entre les ordinateurs se font en passant par le concentrateur. On parle, dans ce cas d'un réseau en étoile, par opposition à un réseau en bus (ou linéaire), dans lequel la liaison entre les ordinateurs se fait par l'intermédiaire d'un câble qui passe d'un ordinateur à l'autre (réseau "Thin Ethernet" ou "Ethernet fin" par exemple).
COOKIE
(Termes français officiels : témoin de connexion, mouchard). Information déposée par un ordinateur distant, auquel vous avez accédé par Internet. Cette information permet à l’ordinateur distant de savoir qui vous êtes et de vous reconnaître. La plupart des sociétés qui utilisent des cookies s’en servent à des fins statistiques, mais on peut, effectivement, envisager d’autres utilisations. Les navigateurs courants possèdent tous une fonction de paramétrage « Refuser les cookies », qui vous permet soit de refuser automatiquement toute tentative de déposer un cookie sur votre système (mais dans ce cas vous risquez de ne pas pouvoir accéder à certains sites), soit d’être informé de la tentative, et de choisir d’accepter ou de refuser le cookie (et dans ce cas, vous passerez le plus clair de votre temps à accepter ou refuser des cookies…)
COUPE-FEU
Voir pare-feu.
COURRIEL, COURRIER ÉLECTRONIQUE
Application Internet permettant d'échanger des messages électroniques entre deux utilisateurs. Plusieurs sémanticiens préconisent le néologisme « courriel », contraction de « courrier » et d’ « électronique », à la place de l’anglicisme « mail » ou « e-mail ». L’auteur de ce lexique, généralement très peu favorable aux « traductions » forcées, approuve totalement ce mot pertinent, pour une fois.
CRYPTAGE, CRYPTOLOGIE
Technique d’encodage permettant de faire transiter via Internet des informations confidentielles en toute sécurité. Le cryptage (ou encodage) dérive directement des techniques du chiffre (le "Chiffre" étant le service chargé de coder et de décoder les informations confidentielles avant transmission. C'est un service militaire d'importance vitale (cf l'affaire "Enigma" pendant la 2ème guerre mondiale). C’est la raison pour laquelle ces techniques ont été longtemps interdites d’utilisation en France : le chiffre relève en effet du domaine du secret militaire et de la défense nationale. Les systèmes de cryptage utilisés actuellement sur Internet se servent d’algorithmes basés sur des clés allant de 40 à 128 bits (système SGC). " Casser " un code à 40 bits nécessite la mise en œuvre de plusieurs PC de puissance respectable, travaillant en parallèle pendant plusieurs heures.
En France, l’utilisation de systèmes de cryptologie, interdite au public en raison du caractère militaire de cette technique, a été considérablement assouplie par la loi du 26/07/1996 sur la réglementation des télécommunications. En simplifiant quelque peu, on peut considérer que l’utilisation de codes jusqu’à 40 bits est aujourd’hui libre. Il est possible, par déclaration ou demande d’autorisation, de mettre en œuvre des systèmes utilisant des clés supérieures à 40 bits.
DOMAINE
Le domaine indique un réseau connecté à Internet. Par exemple, magic.fr fait référence au réseau local de la société Magic. Un domaine est caractérisé par un "nom de domaine", qui doit être déposé comme une marque pour être protégé.
DOWNLOAD
Voir télécharger, téléchargement.
E-BUSINESS
Néologisme anglais désignant le commerce électronique, c’est-à-dire l’achat de produits et de services via Internet.
Prononcer iméïl. Abréviation de electronic mail, ou courriel.
ETHERNET
Système de réseau local créé en 1976. Un réseau Ethernet utilise une connexion physique en bus (au contraire d'un réseau en étoile, qui passe par un concentrateur). Les réseaux de type Ethernet sont très répandu. Cette technique constitue un moyen rapide et peu coûteux de connecter des ordinateurs en réseau. Par contre, cette norme supporte des contraintes techniques qui la rendent peu pratique pour les réseaux importants, ou devant relier des ordinateurs éloignés de plus de quelques dizaines de mètres.
FAQ
Prononcer foc. Acronyme de Frequently Asked Questions (questions fréquemment posées), librement adapté en français en Foire Aux Questions. Fichier texte regroupant des questions courantes sur un sujet donné. Les FAQs sont postées régulièrement dans les groupes de discussions correspondants. Elles permettent d'éviter au novice de poser des questions trop triviales dans un groupe, et si on sait les lire entre les lignes, elles permettent de se faire une idée rapide des principales difficultés posées par un logiciel ou un matériel.
FAVORIS
Voir Signet
FICHIER JOINT, FICHIER ATTACHE
Fichier de données, document, tableau, "joint" ("attaché") à un courriel. Le contenu d'un fichier joint n'apparaît pas dans le texte du message, mais doit être ouvert par le destinataire à l'aide de l'application qui a servi à le créer.(traitement de texte, tableur, photo; image, etc...).
Joindre un fichier est une façon rapide et pratique de transmettre des données "prêtes à l'emploi" à un correspondant. Il faut toutefois veiller à ce que la taille du message complet (message plus fichier joint) n'excède pas la capacité de réception de la BAL du destinataire (cette capacité varie entre 5 et 20 Mo, selon le provider).
Une méthode pratique pour réduire la taille des fichiers joints est de les compresser avant envoi. Un nouveau problème se pose dans ce cas : il faut que le destinaitaire dispose d'un outil de décompression pour accéder aux données, sauf dans le cas où le logiciel utilisé par l'expéditeur lui permet de créer un fichier auto-extractible, c'est-à-dire qui se décompresse lui-même.
De par son aspect éminemment pratique, l'utilisation des fichiers joints est très largement répandue sur Internet. Ces fichiers sont devenus de ce fait, naturellement, une cible privilégiée des cocnepteurs de virus. Certains d'entre eux, extrêmement virulents (le célèbre "I love you" par exemple, apparu en mai 2000), se propage par fichiers joints. Il suffit d'ouvrir ce fichier pour que l'ordinateur du destinataire soit contaminé, et devienne lui-même contagieux. La contamination n'est toutefois possible que si le destinataire ouvre le fichier joint. S'il le détruit avant de l'ouvrir, il n'y aura pas d'infection.
Les deux seules méthodes pour se protéger de ces virus transmis par fichiers joints sont soit de disposer d'un logiciel anti-virus régulièrement mis à jour (il naît un nombre incalculable de nouveaux virus chaque mois), soit de détruire systématiquement tous les fichiers joints reçus.
FIREWALL
Voir pare-feu.
FORWARD
Action de faire passer un message électronique à un autre utilisateur. Se traduit par « Transférer » dans la plupart des logiciels de messagerie français.
FOURNISSEUR D'ACCÈS INTERNET
Voir prestataire Internet.
Logiciel distribué gratuitement. Voir aussi shareware. L’exemple de référence aujourd’hui en matière de logiciel freeware, qui contribue à la création de ce qu’on appelle déjà les « logiciels libres », est le système d’exploitation qui monte, comme concurrent direct de Windows : LINUX
FRIMOUSSE
Traduction de l’expression « smiley ». Voir ce mot.
FTP (FILE TRANSFER PROTOCOL)
Application permettant l'échange de fichiers entre deux machines distantes sur le réseau. Un logiciel de FTP (tels que FTP Expert ou Cute FTP, par exemple) est indispensable pour transférer les fichiers constituant un site Web d’une machine locale vers un serveur d’hébergement.
GIF
Voir images.
La norme de compression d’images GIF (Graphic Interchange File), appliquée à l’origine par Compuserve (un des principaux fournisseurs d’accès mondiaux), est une norme de fait. Limitée à 256 couleurs, elle est essentiellement utilisée pour les illustrations graphiques, les symboles et les images animées.
GOPHER
Prononcer gofeur. Application permettant de consulter le contenu d'un hôte par l'intermédiaire de menus hiérarchiques. Chaque élément du menu peut éventuellement renvoyer au menu d'un autre serveur gopher.
GROUPE DE DISCUSSION
Désigne un sujet de discussion particulier délivré par un serveur de news. Les groupes de discussions sont composés par une série de noms séparés par des points, allant du général au plus particulier. Par exemple, le groupe fr.comp.windows.ms désigne un groupe de discussion français (fr), traitant du système de fenêtrage (windows) de Microsoft (ms)' en informatique (comp). Voir News.
Site sur lequel sont stockées des pages HTML, disponibles pour l’ensemble des internautes. Synonyme de " serveur ", mais identifiant la personne physique ou morale plutôt que le matériel.
Canular, gag. Les hoaxes sont diffusés par courrier électronique, et propagés de bonne foi par ceux qui les reçoivent. On distingue plusieurs types de hoax :
- Désinformation (Total, Cora, Ericsson, Portables, ...) : Porteurs d'informations erronées, voire calomnieuses. C'est le principe de la "fausse rumeur" remise au goût électronique du jour.
- Faux virus (Buddly.sip, Kali, Phantom menace, ...) : Informations concernant de prétendus virus, capables des pires violences sur vos disques durs, et totalement impossibles à éradiquer. S'il est exact que quantité de nouveaux virus informatiques naissent chaque jour, ils sont en général très vite repérés et contrés.
- Chaînes (Amour, Dalaï Lama, ...) : Avatar électronique de la "boule de neige" : vous recevez un message à renvoyer à un certain nombre de correspondants, par solidarité ou par intérêt. Ce type de chaîne est illégal en France.
- Humour (Virus Corse, Big Brother, ...) : Le vrai canular. On peut apprécier l'humour des auteurs ou trouver cette pollution des BAL totalement stupide, il faut être très naïf et particulièrement crédule pour ne pas les reconnaître.
Une information complète sur les hoaxes français et anglais connus est disponible sur le site http://www.hoaxbuster.com
HUB
Voir concentrateur.
HTML (HYPERTEXT MARKUP LANGUAGE)
Langage dans lequel sont écrites les pages du Web. La principale caractéristique du langage HTML est de permettre la liaison dynamique entre des objets de type texte. Initialement conçu pour réaliser les fichiers d’aide des logiciels, l’hypertexte est très vite devenu un outil à part entière.
HTTP (HYPERTEXT TRANSPORT PROTOCOL), HTTPS
Protocole de communication sur le Web. La plupart des sites accessibles le sont via HTTP, qui débute d’ailleurs chaque URL (voir ce mot ci-dessous). Les sites utilisant le protocole https sont " sécurisés ", c’est-à-dire que le transfert d’informations se fait via une méthode de cryptage en garantissant la sécurité et la confidentialité.
Document dans lequel le texte est actif. En cliquant certains éléments (liens), on est renvoyé à d'autres sections.
Les images circulent sur Internet sous deux formats, GIF ou JPEG. Il s’agit essentiellement de techniques de compression, destinées à faire transiter le moins d’octets possibles par le réseau.
INTRANET
Utilisation des techniques de communication d'Internet (pages HTML, liens hypertextes) dans le cadre d'un réseau local, dont l'accès est limité aux utilisateurs d'une organisation (entreprise, administration, etc...). Créer un Intranet revient en fait à créer un site local, disposant de fonctionalités Internet telles que les liens hypertextes, la messagerie électronique, Les utilisateurs de cet Intranet peuvent dès lors échanger des informations, des documents et des données dans les mêmes conditions et avec les mêmes outils que sur Internet.
Le déploiement de sites Intranet dans les entreprises et les organisations de toutes sortes est l'un des enjeux majeurs de la communication interne dans les années à venir.
IP
Acronyme anglais de lnternet Protocol. Voir aussi TCP/IP
Acronyme anglais de lnternet Relay Chat. Système de communications en temps réel, à peu près comparable aux forums du minitel. Terme français officiel : causette
JAVA, JAVASCRIPT
Langage de programmation développé à partir de 1995 par Sun Microsystems™. Java est un langage orienté objet, mi-compilé, mi-interprêté, dérivé du C, mais plus simple que C++. Il permet de développer des applets, qui seront inclus en tant qu'objets dans une page HTML. L'intérêt de Java est qu'il est indépendant de toute plateforme d'exécution : un applet Java se déroulera de la même façon dans n'importe quel environnement où Java est disponible.
On peut considérer que HTML est le langage qui permet de construire et d'ordonner des pages, et Java celui qui permet de programmer à l'intérieur de ces pages. L'association des deux permet de construire un site personnalisé, précis, répondant à un besoin spécifique.
Bien que simplifié par rapport à un langage de programmation "traditionnel", l'utilisation de Java requiert de solides connaissances en programmation. D'autre part, comme tout outil informatique, Java ne cesse d'évoluer vers une complexification croissante : de 212 classes d'objets dans la version 1, Java en dispose dans sa dernière version de plus de 1500.
Pour une information complète et un apprentissage de Java, on consultera l'excellent site http://www.eteks.com
JPEG, JPG
Voir Images.
La norme JPEG (Join Picture Expert Group), plus précise que la norme GIF, permet de compresser, de stocker et de transmettre des images riches en détails et en couleurs. C’est le cas des documents photographiques, qu’ils soient scannés à partir d’un original ou directement issus d’un appareil de prise de vue numérique. Très compact (il est pratiquement impossible de compresser davantage un fichier JPEG), c'est le format idéal pour la trasmission d'images de haute qualité par Internet.
KBPS (KILOBITS PAR SECONDE)
Voir Bande passante.
LAN
Acronyme de Local Area Network. Voir réseau local.
LISTE DE DIFFUSION
Groupe de discussion transitant par le courrier électronique. Les messages de chaque abonné sont retransmis à l'ensemble des abonnés de la liste. Plusieurs listes de diffusion existent, portant sur des sujets divers. Certaines sont de véritables merveilles de poésie (Paroles sur Club Internet, par exemple), d’autres traitent de sujets plus ou moins légers (voir la liste consacrée à la loi de Murphy). Les listes de diffusion peuvent être ouvertes ou modérées (voir modérateur).
Le CRU (Comité Réseau des Universités) a accompli un remarquable travail de recensement des listes de diffusion francophones. On peut consulter la page " Francopholistes " à l’URL http://www.cru.fr/listes.
Identifiant individuel. Le « login » est l’un des deux éléments qui permettent à un ordinateur, via un logiciel de sécurité, d’identifier un utilisateur. En règle générale le login est facilement reconnaissable (la plupart du temps, c’est le nom de l’utilisateur ou un pseudonyme qu’il se choisit. Le deuxième élément est par contre secret (voir MOT DE PASSE)
MBPS (MEGABITS PAR SECONDE)
Voir Bande passante.
MEL
Courrier électronique. Traduction française officielle de e-mail. Voir aussi courriel.
MIME
Acronyme anglais de Multipurpose Internet Mail Extensions. Permet de faire transiter par courriel des documents binaires
Abréviation de MOdulateur-DEModulateur. Périphérique permettant à deux ordinateurs de communiquer par l'intermédiaire de la ligne téléphonique. Voir baud.
Personne physique désignée par le propriétaire d’une liste de diffusion pour filtrer, avant envoi aux abonnés, les messages. Un modérateur a, en règle générale, deux fonctions essentielles :
- Eliminer les spams
- S’assurer que les messages sont conformes à l’objet, aux objectifs ou à l’esprit de la liste (exemple : message à caractère nettement politique sur une liste de recettes de cuisine).
MODULE D’EXTENSION
Terme français qui désigne l’anglicisme plug in. Voir ce mot.
Elément d'authentification du login. Contrairement au login le mot de passe (« password » en anglais) est connu du seul utilisateur. C’est l’association login + mot de passe qui permet au système de sécurité de reconnaître un utilisateur et de lui attribuer des droits d’accès.
Logiciel permettant de retrouver, parmi l'ensemble des pages HTML publiées sur la Toile, celles contenant ou répondant à un ou plusieurs mots-clés soumis par l'utilisateur. Par extension, on appelle également "moteur de recherche" le site d'un fournisseur proposant ce type de logiciel. Ces sites se présentent la plupart du temps comme des portails à caractère universel. (voila, nomade, yahoo, msn,...).
Format standard des vidéos sur Internet. L’évolution MP3 de ce standard s’impose aujourd’hui, non seulement sur Internet, mais aussi pour les nouveaux disques DVD.
MULTIMÉDIA
Qualifie un document comportant à la fois du texte, des images, des sons ou des animations.
(anglais : browser). Logiciel permettant de se connecter à Internet et de se déplacer, en passant par des liens hypertextes, de page en page à travers l’ensemble des serveurs formant le Web.
PAGE D’ACCUEIL
La page Internet chargée automatiquement lors du lancement du navigateur. Cette page peut être paramétrée par l’utilisateur, qui peut décider de démarrer toute navigation par un site précis (en règle générale, un portail). Tous les navigateurs disposent, en barre d’outils, d’un bouton permettant de revenir directement à cette page d’accueil, quel que soit l’endroit où l’on se trouve sur la Toile.
PAGE(S) PERSONNELLE(S)
Espace mis à la disposition des personnes physiques ou morales par un prestataire de service (hébergeur). Les fournisseurs d’accès prévoient, pour la plupart, dans leur conditions d’abonnement, de fournir gratuitement un espace pour créer vos propres pages Web. Certaines sociétés sont spécialisées dans l’hébergement de ces pages.
Ou coupe-feu, (firewall en anglais). Logiciel de protection des serveurs Internet. Un pare-feu est conçu pour ne laisser passer de la toile vers le serveur que les données contrôlées et autorisées. En principe, il intercepte toute tentative d’intrusion non autorisée sur le serveur qu’il protège (introduction de données non contrôlées, de virus, destruction de données, prise en main du système). C’est le douanier et l’agent de sécurité du serveur.
PASSWORD
Voir mot de passe.
PEER-TO-PEER
Réseau local poste à poste.
Terme français équivalant : module d’extension. Logiciel permettant d'accroître les fonctionnalités de Netscape (un des deux principaux navigateurs du Web) dans différents domaines (lecture de vidéos en temps réel, affichage de dessins vectoriels, etc.)
Point d’accès généraliste ou thématique aux sites Internet. Le portail d’un fournisseur d’accès ou d’un annuaire (" Voilà™ " par exemple) seront plutôt généralistes, un portail comme " admifrance " (http://www.admifrance.gouv.fr) sera spécialisé sur l’accès aux sites publics (sites des ministères et administrations françaises). Il est plus que fréquent que l’on choisisse un portail comme page d’accueil sur Internet. A la plupart des portails est associé un moteur de recherche, généraliste ou spécialisé.
PRESTATAIRE INTERNET
(en anglais : « provider »). Société mettant à la disposition du grand public et des entreprises une connexion à Internet et divers services supplémentaires.
PROTOCOLE INTERNET
Protocole de communication entre deux machines situées dans le réseau.
PROVIDER
Voir Prestataire Internet.
QUICKTIME ®
Marque déposée par Apple. Norme d’enregistrement des séquences vidéos. Plus ancienne et moins performante que la norme MPEG, elle reste une norme de référence, de par le fait qu’elle n’exige aucun matériel particulier, et qu’elle est très largement portable : elle peut être diffusée sur un très grand nombre de machines, quel que soit leur système d’exploitation ou leur architecture (Mac, PC, Unix, …).
RESEAU
Ensemble d'ordinateurs reliés entre eux. Voir dans les entrées suivantes les différentes acceptation du terme "réseau".
Réseau utilisant des lignes de télécommunications pour relier des ordinateurs distants.
Réseau composé d'ordinateurs proches (même salle, même bâtiment, ...) physiquement reliés entre eux par un câble ou via un concentrateur. En règle générale l'appellation de "réseau local doit être réservée aux réseaux comportant un serveur dédié, sous un système d'exploitation réseau (Windows NT® ou Novell Netware® par exemple).
RESEAU POSTE A POSTE, PEER TO PEER
Réseau local ne comportant pas de serveur dédié, et où les services réseau sont assurés par un système d'exploitation plus simple que ceux utilisés ci-dessus (Windows 95® ou Windows 98® par exemple).
Machine mettant à la disposition des autres machines d'un réseau des ressources (espace disque, imprimantes, logiciels, ...) et des données. Désigne également le logiciel permettant le partage de ces données. Voir client. Lorsque la machine qui remplit la fonction de serveur n'est utilisée qu'à cette seule fonction, on parle de "serveur dédié" : c'est plus cher, mais c'est plus rapide. Lorsque la machine serveur peut également exécuté des fonctions de poste de travail (cas d'un réseau "poste à poste" par exemple), on la désigne comme "serveur non dédié" : c'est moins cher, mais c'est beaucoup plus lent.
Traduction officielle de l’anglais bookmark. Indexation d’une URL. Un signet associe un texte explicatif à une adresse Internet. Les signets sont conservés dans un fichier spécifique (fichier d’adresses), et sont consultables à partir de la barre d’outils du navigateur. Chaque internaute peut se constituer son propre ensemble de signets, avec les URL qu’il consulte le plus fréquemment, auxquelles il peut ainsi accéder rapidement, sans avoir besoin de se souvenir de l’adresse exacte, dont la syntaxe est, pour les non-initiés, difficile à manipuler.
" Signet " est le terme utilisé par Netscape™, l’équivalent dans " Internet Explorer™ " est " favoris ".
Logiciel distribué gratuitement mais dont l'utilisation régulière ou professionnelle requiert une licence payante.
Terme français équivalent : frimousse. Façon d'exprimer des émotions par le courriel ou les News. Permet d'éviter les quiproquos. Le plus courant est :-) qui signifie « je plaisante ». Le plus mignon est :-x qui signifie « faire une bise ». Cliquez ici pour voir une page consacrée aux smileys.
SPAM, SPAMMING
Information à caractère commercial non sollicitée reçue dans une BAL, sous forme de courrier électronique. Le spamming est la dernière technique très en vogue de prospection commerciale. Mailing électronique certes, mais dont les règles sont nettement plus " sauvages " que la très réglementée vente de fichier d’adresses.
En adressant un message unique à une liste de diffusion (ce qui est la méthode la plus simple), une société (ou une secte) peuvent ainsi se faire connaître à faible coût par des milliers, voire des millions de personnes dans le monde. Cette méthode est facilement contrée en nommant un " modérateur " sur ces listes, qui peut, entre autres tâches, filtrer les spams et ne pas les redistribuer aux abonnés.
Une autre méthode, plus sophistiquée, consiste à " détourner " les adresses des abonnés. Il existe en effet des " robots " électroniques qui peuvent, en explorant les fichiers d’un fournisseur d’accès, récupérer les adresses des internautes abonnés, et leur diffuser ainsi des messages publicitaires. Les fournisseurs d’accès les plus sérieux disposent de contre-mesures qui détectent l’intrusion de ce type de robot, et peuvent en conséquence les déconnecter.
TCHATCHE
Synonyme de causette. Voir IRC.
Acronyme de Transmission Control Protocol/Internet Protocol. TCP/IP est le système de protocoles qui permet à des ordinateurs "hétérogènes" (c'est-à-dire qui ne fonctionne pas sous le même environnement ou système d'exploitation) de communiquer entre eux. TCP/IP est en fait constitué d'une suite de protocoles de communication standards, qui prennent en charge la communication et le transfert de données entre systèmes. TCP/IP permet la connexion d'ordinateurs en réseau local, et l'accès aux réseaux étendus. Il constitue le protocole le plus complet et le plus répandu aujourd'hui. Tous les systèmes d'exploitation modernes le prennent en charge, et la plupart des grands réseaux, dont Internet, reposent sur TCP/IP.
THUMBNAIL
(Miniature). Représentation réduite d'une image graphique. Les thumbnails permettent d'afficher une représentation réduite d'une image de plus grand format sur une page, accélérant ainsi le temps de chargement de la page. En règle générale, les concepteurs de pages créent un lien hypertexte entre la miniature et l'image en format réel.
TELECHARGER, TELECHARGEMENT
(Anglais download). Copier un fichier situé physiquement sur un serveur sur un disque local. Le téléchargement permet de disposer, sur son propre disque dur, d’une copie du fichier distant. Ceci est utilisé pour des logiciels, mais aussi pour des textes, des formulaires administratifs, des photos, des fichiers sons, et de façon générale tout type de fichier.
La quasi-totalité des fichiers disponibles en téléchargement sont préalablement compactés, à l’aide d’un logiciel spécial, qui réduit leur taille dans des proportions non négligeables. Le temps de téléchargement est alors réduit d’autant. A l’arrivée, il faut disposer d’un logiciel de décompactage pour pouvoir utiliser le fichier, sauf si celui-ci a été compacté avec une option de décompression automatique. Dans ce cas, le fichier téléchargé aura comme extension " .exe ".
De nombreux logiciels freeware ou shareware sont disponibles en téléchargement. Une autre utilité du téléchargement est la mise à jour automatique, à distance, de logiciels ou de fichiers. Ainsi, certaines grandes firmes du monde informatique ont systématisé la mise à jour de leurs produits par téléchargement (définitions de virus par Norton™, mise à jour de Windows 98 par Microsoft ™).
TOILE, TOILE MONDIALE, TOILE D’ARAIGNEE MONDIALE
Termes français officiels pour désigner le World Wide Web. Voir ce mot.
TROJAN
Voir cheval de Troie.
Acronyme anglais de Uniform Resource Locator. Utilisé sur le Web pour désigner un document et le protocole sous lequel il faut lire ce document. Le format est < protocole>://< nom de machine> < chemin d'accès> < document>. Par exemple, http://www.site.fr/lemien/sommaire.htm désigne le document sommaire.htm situé dans le répertoire lemien sur la machine www.site.fr, que l'on doit lire en utilisant le protocole http.
La traduction française de ce terme est « adresse universelle », ou « adresse réticulaire »
Bouts de programmes informatiques destinés, comme leurs homologies biologiques envers les organismes vivants, à perturber dans le meilleur des cas, et à détruire dans le pire, les organismes électroniques. L’action d’un virus peut aller du simple affichage d’un message plus ou moins anodin ou ordurier à la destruction pure et simple (et généralement définitive) des disques durs et des mémoires internes de l’ordinateur contaminé.
Il ne faut pas confondre un virus informatique, qui peut être extrêmement dangereux pour un système (perte de données, destruction d'installations) avec un hoax, canular ou fausse information.
Un virus s’attrape par contact avec un système ou un fichier contaminé (document, courriel, disquette ou CD-ROM contaminé, etc…). La meilleure façon de s’en protéger est de disposer sur son système d’un anti-virus efficace, et de définitions de virus à jour (la plupart des éditeurs d’anti-virus proposent une formule d’abonnement aux mises à jour).
On peut classer les virus informatiques de plusieurs façons, selon leur action ou leur cible. Une autre façon de les cataloguer est d’observer leur mode de travail. On en distingue trois sortes :
Les virus à action immédiate : dès leur arrivée, ou dès que le fichier contaminé est sollicité, ils se déclenchent et accomplissent leurs méfaits.
Les « chevaux de Troie » : Extrêmement dangereux. Voir la définition dans ce lexique.
Les « œufs de Pâques » (« Easter eggs ») ou virus à déclenchement. Ces virus s’installent sur le système hôte et restent inactifs et invisibles, jusqu’à la survenance d’un événement particulier, qui agit comme une gâchette (« trigger »). L’exemple le plus connu est le célèbre « Vendredi 13 ». Entre autres romans reposant sur le sujet, le best-seller de Tom Clancy, « Dette d’honneur » (Ed. Albin Michel), et le classique « Softwar » de Thierry Breton et Denis Beneich (Ed. Robert Laffont) donnent une image assez saisissante des dégâts que peut provoquer ce type de virus.
Bien que l’utilisateur moyen a assez peu de chances de se trouver confronté à un virus, le risque existe et demeure réel. L’augmentation du trafic Internet augmente de façon exponentielle les dangers de contamination. Comme pour leurs homologues biologiques, une vaccination préventive, par l’utilisation d’un logiciel anti-virus du marché, peut réduire le risque de façon considérable, sans pouvoir l’éliminer complètement : si les virus biologiques mutent devant les défenses immunitaires ou chimiques de l’homme, les virus informatiques sont aussi capables de muter devant le développement des anti-virus, et ce d’autant plus vite que ce qui les fait muter est l’intelligence d’un programmeur, et non pas une évolution naturelle. Un anti-virus, même efficace ne suffit donc pas : il est indispensable de le mettre à jour régulièrement avec les nouvelles définitions de virus. La situation ci-dessous sera régulièrement mise à jour :
Date Nombre de virus répertoriés 05-05-2000 47.219 21-06-2000 47.450 13-07-2000 47.554 17-08-2000 47.681 26-10-2000 47.976 12-04-2001 49.111 source : SARC ® (Symantec Antivirus Research Center : http://www.symantec.com) . Information libre de toute publicité.
WAN
Acronyme de Wide Area Network. Voir réseau étendu.
WEB
Voir WWW.
WEBMASTER, WEBMESTRE
Responsable d’un site Internet. En général, la personne chargée par le propriétaire du site de recevoir les questions, remarques et critiques des utilisateurs du site sur la TAM.
WORLD WIDE WEB
Voir WWW.
Acronyme anglais de World Wide Web. Application Internet permettant la consultation de documents hypertexte et multimédia. Par extension, désigne l’ensemble des serveurs et clients constituant le « réseau mondial ».
Les termes français conseillés officiellement sont « toile d’araignée mondiale », « toile mondiale » ou « toile ».
ZIP
Le plus répandu des formats de compression de fichiers. De nombreux utilitaires de compréssion utilisent ce format. La plupart sont capables de créer deux types de fichiers compressés : archive, pour lesquels le destinataire devra disposer d'un logiciel similaire pour le lire, et auto-extractible, qui se décompressera tout seul à l'arrivée. Les premiers types de fichiers ont l'extension .zip, les second sont des fichiers exécutables classiques (extension .exe).